Pendant la majeure partie du 19e siècle, l'économie des petits villages isolés de Terre-Neuve et du Labrador ne reposait pas sur l'argent, mais plutôt sur le crédit des commerçants.
L'environnement physique de Terre-Neuve et du Labrador a fortement influencé les modes de subsistance des colons au 19e siècle. La richesse des ressources de la mer a favorisé un modèle de colonisation côtière et placé la pêche de la morue et la chasse au phoque au centre des économies locales. En contraste, la relative rareté des sols fertiles et des autres ressources terrestres a rendu peu pratiques les exploitations agricoles à grande échelle et découragé l'habitation à l'année longue des terres de l'intérieur.
La croissance du secteur non maritime au cours de la première moitié du 20e siècle a entraîné une transformation du rôle traditionnel de certaines femmes dans la société de Terre-Neuve et du Labrador.
La mécanisation progressive de l'industrie forestière de Terre-Neuve-et-Labrador a transformé les relations entre les bûcherons et les écosystèmes forestiers.