Les premiers spectacles dont on ait enregistré la présentation à Terre-Neuve remontent à 1583, soit au voyage durant lequel Sir Humphrey Gilbert a revendiqué l'île au nom de la Couronne britannique
L'environnement physique de Terre-Neuve et du Labrador a fortement influencé les modes de subsistance des colons au 19e siècle. La richesse des ressources de la mer a favorisé un modèle de colonisation côtière et placé la pêche de la morue et la chasse au phoque au centre des économies locales. En contraste, la relative rareté des sols fertiles et des autres ressources terrestres a rendu peu pratiques les exploitations agricoles à grande échelle et découragé l'habitation à l'année longue des terres de l'intérieur.
Au fil du 20e siècle, l'adoption de technologies de pêche de plus en plus complexes et efficaces a transformé l'industrie de la pêche à Terre-Neuve-et-Labrador.
La mécanisation progressive de l'industrie forestière de Terre-Neuve-et-Labrador a transformé les relations entre les bûcherons et les écosystèmes forestiers.
La fermeture de la pêche a mis un terme à près de 500 ans d'activités de pêche à Terre-Neuve et au Labrador, et jeté au chômage quelque 30 000 personnes.
L'industrie historique de la pêche à la morue à Terre-Neuve et au Labrador a attiré des flottes de pêche pendant cinq siècles avant qu'on y mette un terme indéfiniment.
Des décennies de surpêche à Terre-Neuve-et-Labrador ont causé l'effondrement des stocks de morue du Nord durant les années 1990 et entraîné un moratoire.
Après le moratoire de 1992 sur la pêche de la morue, l'industrie de la pêche de Terre-Neuve-et-Labrador est passée de l'exploitation du poisson de fond à celle des crustacés et des mollusques.
S'il est une grande inquiétude à l'égard de l'industrie pétrolière extracôtière de Terre-Neuve-et-Labrador, c'est qu'elle cause de graves dommages à l'environnement océanique.