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  • Durant les années 1930, Terre-Neuve est devenue un terminus occidental pour les services aériens commerciaux transatlantiques.
  • L'histoire du chemin de fer : période de construction, la famille Reid, le gouvernement de Terre-Neuve, le Canadien National, TerraTransport.
  • Durant un peu plus d'un siècle, Terre-Neuve a eu son propre chemin de fer. Entre 1882 et 1897, les premiers convois ont roulé sur les sections complétées du réseau trans insulaire envisagé.
  • À Terre-Neuve, le chemin de fer n'a pas seulement rendu accessible l'intérieur de la partie ouest de l'île, mais il a aussi assuré un lien entre la province et le reste du Canada.
  • Dès le départ, il était clair que la situation de la colonie ne permettrait pas la construction d'un chemin de fer de « première classe » selon les normes nord-américaines. En 1880, le comité sur le chemin de fer de l'Assemblée législative a recommandé la construction d'une ligne à voie étroite, ce qui allait faire partie des conditions du contrat de construction accordé.
  • La construction du chemin de fer de Terre-Neuve s'amorce en 1881. En 1898, une voie ferrée relie la ville de St. John's à celle de Port aux Basques.
  • Bien que la ligne principale ait déjà été en soi un exploit d'optimisme technique et politique, les lignes secondaires ont aussi constitué des éléments clés du réseau ferroviaire à Terre Neuve.
  • Une fois la ligne de chemin de fer complétée, il fut question de regrouper et d'étendre les services de vapeurs côtiers à Terre-Neuve et au Labrador.
  • À Terre-Neuve, le transport a toujours été grandement tributaire de la mer
  • Les progrès accomplis dans le secteur des transports à la fin du 19e et au début du 20e siècle ont eu un impact considérable sur le développement des industries minières et forestières à Terre-Neuve-et-Labrador.
  • Une introduction aux fouilles archéologiques menées dans la colonie d'Avalon à Ferryland, T.-N.-L.
  • Après avoir trouvé des artefacts dans l'une des couches les plus profondes du site, les archéologues ont soupçonné que ceux-ci pouvaient avoir été fabriqués par les Béothuks.
  • Chaque artefact ou échantillon retiré de la matrice sédimentaire d'une unité de fouille est décrit brièvement sur une étiquette. L'emplacement exact, la profondeur sous la surface du sol, la date de la fouille et le nom du fouilleur sont inscrits sur l'étiquette.
  • Les artefacts inorganiques sont constitués d'éléments présents dans la croûte terrestre. De par leur nature, ces objets ne s'enflamment pas, sont insensibles à la lumière et à l'humidité, ont une structure cristalline ou de verre, sont fragiles, et varient de poreux à denses, et de mous à durs.
  • L'élément le plus apparent des ouvrages défensifs est un large fossé, de quelque 6,1 mètres (20 pieds) de large et d'environ 1,2 mètre (4 pieds) de profond qui semble avoir bordé au moins toute l'extrémité est de la colonie.
  • Après avoir été mis au jour, stabilisés/conservés, documentés, catalogués et numérotés, les artefacts sont gardés dans la salle d'entreposage des collections. C'est là que reposent les objets une fois qu'ils sont « hors sol »
  • Les tessons de céramique constituent au moins le tiers des quelque un million d'artefacts qui ont été extraits du site archéologique de Ferryland.
  • Survol des fouilles archéologiques menées à Ferryland (T.-N.-L.)
  • Entre 1992 et 1995, une section du front de mer du 17e siècle a été mise au jour.
  • Histoire des fouilles archéologiques dans la colonie d'Avalon, à Ferryland, T.-N.-L.