Les mois tranquilles de février et de mars étaient appelés saison de fabrication des tapis sur la côte tourmentée du nord de Terre-Neuve et du Labrador.
Malgré un climat et des sols peu propices, l'agriculture aura été cruciale pour les villages isolés de Terre-Neuve et du Labrador, qui ne tiraient que de faibles revenus de la pêche.
Du début du siècle jusqu'en 1914, une hausse générale des prix (y compris de ceux des produits du phoque) a apporté une relative prospérité à Terre-Neuve.
Pendant la majeure partie du 19e siècle, l'économie des petits villages isolés de Terre-Neuve et du Labrador ne reposait pas sur l'argent, mais plutôt sur le crédit des commerçants.
Au début du 19e siècle, la population féminine de Terre-Neuve était constituée en grande partie de résidentes qui jouaient un rôle central dans l'industrie de la pêche, structurée à l'époque autour de la famille.
La croissance du secteur non maritime au cours de la première moitié du 20e siècle a entraîné une transformation du rôle traditionnel de certaines femmes dans la société de Terre-Neuve et du Labrador.
Les guerres napoléoniennes (1803-1815), une période de grands bouleversements sociaux en Europe, ont favorisé la prospérité économique à Terre-Neuve et au Labrador
Au fil du 20e siècle, l'adoption de technologies de pêche de plus en plus complexes et efficaces a transformé l'industrie de la pêche à Terre-Neuve-et-Labrador.
La mécanisation progressive de l'industrie forestière de Terre-Neuve-et-Labrador a transformé les relations entre les bûcherons et les écosystèmes forestiers.
La fermeture de la pêche a mis un terme à près de 500 ans d'activités de pêche à Terre-Neuve et au Labrador, et jeté au chômage quelque 30 000 personnes.
Si Terre-Neuve n'avait congelé que 1,5 millions de livres de poisson de fond en 1939, la déclaration de la Deuxième Guerre mondiale allait propulser cette industrie vers la prospérité.